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Orgueil et technologie

Florence Bolduc, ExpressOttawa.ca | Le moins qu’on puisse dire, c’est sûrement que la technologie aura su apporter plusieurs changements dans nos vies. Cette phrase est particulièrement vraie dans plusieurs domaines, dont le journalisme. Récemment diplômée de l’Université d’Ottawa et de La Cité collégiale, j’ai eu la chance d’apprendre les rudiments de mon métier alors que…

Florence Bolduc, ExpressOttawa.ca |

Le moins qu’on puisse dire, c’est sûrement que la
technologie aura su apporter plusieurs changements dans nos vies. Cette
phrase est particulièrement vraie dans plusieurs domaines, dont le
journalisme.

Récemment diplômée de l’Université d’Ottawa et de La
Cité collégiale, j’ai eu la chance d’apprendre les rudiments de mon
métier alors que les plus grands changements apportés par la
technologie étaient déjà en place.

Alors que je commençais ma carrière dans l’Est ontarien et qu’il
m’arrivait de pester contre mon ordinateur ou ma caméra numérique. Mes
collèges plus âgés se faisaient alors un plaisir de me rappeler que
j’étais bien chanceuse de pouvoir profiter de ce «maudit» ordinateur ou
de cette caméra «bonne à rien», ce qu’eux n’avaient même pas à il a à
peine une quinzaine d’années. Il me racontait alors comment ils
devaient taper leur texte en bande pour ensuite les coller sur la
maquette et que les photos devraient être développées selon la grandeur
nécessaire pour le journal.

Florence Bolduc, ExpressOttawa.ca |

Le moins qu’on puisse dire, c’est sûrement que la
technologie aura su apporter plusieurs changements dans nos vies. Cette
phrase est particulièrement vraie dans plusieurs domaines, dont le
journalisme.

Récemment diplômée de l’Université d’Ottawa et de La
Cité collégiale, j’ai eu la chance d’apprendre les rudiments de mon
métier alors que les plus grands changements apportés par la
technologie étaient déjà en place.

Alors que je commençais ma carrière dans l’Est ontarien et qu’il
m’arrivait de pester contre mon ordinateur ou ma caméra numérique. Mes
collèges plus âgés se faisaient alors un plaisir de me rappeler que
j’étais bien chanceuse de pouvoir profiter de ce «maudit» ordinateur ou
de cette caméra «bonne à rien», ce qu’eux n’avaient même pas à il a à
peine une quinzaine d’années. Il me racontait alors comment ils
devaient taper leur texte en bande pour ensuite les coller sur la
maquette et que les photos devraient être développées selon la grandeur
nécessaire pour le journal.

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