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Quebec journalists protest hospital expulsion

Quebec’s federation of journalists protests the expulsion of a journalist from a Laval hospital:         QUEBEC, le 26 juillet /CNW Telbec/ – La Fédération professionnelle desjournalistes du Québec (FPJQ) section de Québec dénonce l’expulsion d’unjournaliste, hier matin à l’Hôpital Laval, geste qu’elle juge abusif.        Le journaliste Jean-François Labrie, du FM 93, s’est rendu…

Quebec’s federation of journalists protests the expulsion of a journalist from a Laval hospital:

        QUEBEC, le 26 juillet /CNW Telbec/ – La Fédération professionnelle des
journalistes du Québec (FPJQ) section de Québec dénonce l’expulsion d’un
journaliste, hier matin à l’Hôpital Laval, geste qu’elle juge abusif.
        Le journaliste Jean-François Labrie, du FM 93, s’est rendu hier matin à
l’Hôpital Laval dans le but de rencontrer la famille d’une patiente. Les gens
avaient eux-mêmes contacté M. Labrie, parce qu’ils souhaitaient dénoncer le
changement de chambre de la patiente en question.
        Alors qu’il marchait et discutait avec les gens, dans les corridors de
l’hôpital, M. Labrie s’est fait interpeller par trois agents de sécurité.
Après lui avoir demandé s’il était journaliste, ceux-ci l’ont sommé de quitter
les lieux sous peine de contacter les policiers. M. Labrie n’avait pas de
calepin, de caméra, d’enregistreuse. Il souhaitait vérifier les informations
recueillies de visu.
        “Déjà, les journalistes doivent se heurter au pare-feu des
portes-paroles, dans les hôpitaux. Or tout bon journaliste se doit de vérifier
de la façon la plus rigoureuse possible une situation, dont un cas d’abus
possible à l’encontre d’un patient”, a souligné Karine Gagnon, présidente de
la FPJQ section de Québec.
        Le règlement de l’Hôpital Laval stipule notamment que “toute présence des
médias d’information doit être adressée aux communications et relations
publiques de la Direction générale et que toute présence des médias
d’information dans l’hôpital doit être signalée au Service de sécurité. Un
usager qui souhaite être photographié ou filmé doit également remplir un
formulaire écrit.”
        “Il s’agit pour nous d’une façon détournée de contrôler l’information,
une situation qui nous inquiète”, de conclure Karine Gagnon.

    

Quebec’s federation of journalists protests the expulsion of a journalist from a Laval hospital:

        QUEBEC, le 26 juillet /CNW Telbec/ – La Fédération professionnelle des
journalistes du Québec (FPJQ) section de Québec dénonce l’expulsion d’un
journaliste, hier matin à l’Hôpital Laval, geste qu’elle juge abusif.
        Le journaliste Jean-François Labrie, du FM 93, s’est rendu hier matin à
l’Hôpital Laval dans le but de rencontrer la famille d’une patiente. Les gens
avaient eux-mêmes contacté M. Labrie, parce qu’ils souhaitaient dénoncer le
changement de chambre de la patiente en question.
        Alors qu’il marchait et discutait avec les gens, dans les corridors de
l’hôpital, M. Labrie s’est fait interpeller par trois agents de sécurité.
Après lui avoir demandé s’il était journaliste, ceux-ci l’ont sommé de quitter
les lieux sous peine de contacter les policiers. M. Labrie n’avait pas de
calepin, de caméra, d’enregistreuse. Il souhaitait vérifier les informations
recueillies de visu.
        “Déjà, les journalistes doivent se heurter au pare-feu des
portes-paroles, dans les hôpitaux. Or tout bon journaliste se doit de vérifier
de la façon la plus rigoureuse possible une situation, dont un cas d’abus
possible à l’encontre d’un patient”, a souligné Karine Gagnon, présidente de
la FPJQ section de Québec.
        Le règlement de l’Hôpital Laval stipule notamment que “toute présence des
médias d’information doit être adressée aux communications et relations
publiques de la Direction générale et que toute présence des médias
d’information dans l’hôpital doit être signalée au Service de sécurité. Un
usager qui souhaite être photographié ou filmé doit également remplir un
formulaire écrit.”
        “Il s’agit pour nous d’une façon détournée de contrôler l’information,
une situation qui nous inquiète”, de conclure Karine Gagnon.

    

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