La liberté des statues
Que l’on soit scénariste ou non, la leçon de scénarisation de
Denys Arcand promettait d’être l’événement de la journée, lundi, aux
Rendez-vous du cinéma québécois.
Une heure avant le début de la leçon, plus des 200 fidèles faisaient la
queue au milieu du hall de la Cinémathèque, dans la bonne humeur et
l’anticipation. Malheureusement, dès l’ouverture des portes du bistro
où avait lieu l’événement, la leçon de cinéma s’est muée en cirque
parano et en chasse aux sorcières, les sorcières dans ces cas-ci étant
les méchants journalistes
Que l’on soit scénariste ou non, la leçon de scénarisation de
Denys Arcand promettait d’être l’événement de la journée, lundi, aux
Rendez-vous du cinéma québécois.
Une heure avant le début de la leçon, plus des 200 fidèles faisaient la
queue au milieu du hall de la Cinémathèque, dans la bonne humeur et
l’anticipation. Malheureusement, dès l’ouverture des portes du bistro
où avait lieu l’événement, la leçon de cinéma s’est muée en cirque
parano et en chasse aux sorcières, les sorcières dans ces cas-ci étant
les méchants journalistes