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Le Québec nous tue | La profession de journaliste se meurt dans lindifférence

Éric Moreault, 45 signataires de la salle de rédaction du Soleil et l’Exécutif du Syndicat de la rédaction du Soleil (FNC-CSN) La profession de journaliste se meurt dans l’indifférence. L’annonce de la fermeture des salles de nouvelles de TQS est la dernière catastrophe d’une longue série qui mine l’exercice de la profession de journaliste au…
Éric Moreault, 45 signataires de la salle de rédaction du Soleil et l’Exécutif du Syndicat de la rédaction du Soleil (FNC-CSN)

La profession de journaliste se meurt dans l’indifférence. L’annonce de
la fermeture des salles de nouvelles de TQS est la dernière catastrophe
d’une longue série qui mine l’exercice de la profession de journaliste
au Québec. C’est assez! Beaux discours et vagues promesses doivent
céder la place aux actions concrètes de tous pour garantir la survie et
l’indépendance de ce rôle-clé de la santé démocratique d’une société.

La vague de sympathie entourant la mise à pied éventuelle de 270
employés de TQS masque mal une certaine apathie et un malaise entourant
l’information au Québec. Les journalistes sont inquiets de la
détérioration des conditions dans lesquelles s’exerce la profession,
tel que le démontre de façon éloquente une enquête du professeur
Marc-François Bernier, dévoilée en février au colloque Médias et
démocratie organisé par la Fédération nationale des communications
(CSN).

Éric Moreault, 45 signataires de la salle de rédaction du Soleil et l’Exécutif du Syndicat de la rédaction du Soleil (FNC-CSN)

La profession de journaliste se meurt dans l’indifférence. L’annonce de
la fermeture des salles de nouvelles de TQS est la dernière catastrophe
d’une longue série qui mine l’exercice de la profession de journaliste
au Québec. C’est assez! Beaux discours et vagues promesses doivent
céder la place aux actions concrètes de tous pour garantir la survie et
l’indépendance de ce rôle-clé de la santé démocratique d’une société.

La vague de sympathie entourant la mise à pied éventuelle de 270
employés de TQS masque mal une certaine apathie et un malaise entourant
l’information au Québec. Les journalistes sont inquiets de la
détérioration des conditions dans lesquelles s’exerce la profession,
tel que le démontre de façon éloquente une enquête du professeur
Marc-François Bernier, dévoilée en février au colloque Médias et
démocratie organisé par la Fédération nationale des communications
(CSN).

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