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Merci The Gazette

Benoît Aubin, Le Journal de Montréal | Le journalisme est devenu un business extrêmement compétitif, et on voit souvent des médias d’une même ville faire de grands détours pour ignorer le scoop d’un concurrent, ou, quand ils sont obligés d’en parler, faire des prodiges de casuistique pour essayer d’en réduire l’importance ou la portée. Surtout…

Benoît Aubin, Le Journal de Montréal |

Le journalisme est devenu un business extrêmement compétitif, et on voit souvent des médias d’une même ville faire de grands détours pour ignorer le scoop d’un concurrent, ou, quand ils sont obligés d’en parler, faire des prodiges de casuistique pour essayer d’en réduire l’importance ou la portée.

Surtout quand le scoop est dans Le Journal de Montréal, ce qui est le cas plus souvent qu’autrement.

Par exemple, The Gazette est montée au front, tambour battant, quand nous avons publié une série de reportages démontrant qu’une unilingue anglophone peut facilement trouver des emplois la mettant en contact avec le public du centre-ville. The Gazette s’est empêtrée dans nos chiffres, a critiqué (erronément) nos méthodes et a conclu que nous avons fourni «un exemple de journalisme dont on peut se passer», nous accusant de «semer la peur pour vendre des journaux».


Benoît Aubin, Le Journal de Montréal |

Le journalisme est devenu un business extrêmement compétitif, et on voit souvent des médias d’une même ville faire de grands détours pour ignorer le scoop d’un concurrent, ou, quand ils sont obligés d’en parler, faire des prodiges de casuistique pour essayer d’en réduire l’importance ou la portée.

Surtout quand le scoop est dans Le Journal de Montréal, ce qui est le cas plus souvent qu’autrement.

Par exemple, The Gazette est montée au front, tambour battant, quand nous avons publié une série de reportages démontrant qu’une unilingue anglophone peut facilement trouver des emplois la mettant en contact avec le public du centre-ville. The Gazette s’est empêtrée dans nos chiffres, a critiqué (erronément) nos méthodes et a conclu que nous avons fourni «un exemple de journalisme dont on peut se passer», nous accusant de «semer la peur pour vendre des journaux».

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