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Profession : e-reporter dans Second life

Florence Vergne, Journalisme(s).net | ll s’appelle Adam Pasick, mais tout le monde le connaît sous l’avatar d’Adam Reuters. Il a 30 ans et habite Londres. Depuis deux ans, le journaliste dirige le bureau de l’agence de presse britannique Reuters dans Second life. Il est le premier journaliste « réel » à recevoir un salaire pour…

Florence Vergne, Journalisme(s).net |

ll s’appelle Adam Pasick, mais tout le monde le connaît sous l’avatar d’Adam Reuters. Il a 30 ans et habite Londres. Depuis deux ans, le journaliste dirige le bureau de l’agence de presse britannique Reuters dans Second life. Il est le premier journaliste « réel » à recevoir un salaire pour un travail dans un monde virtuel.

Adam Pasick, journaliste à l’agence de presse Reuters , arpente les quartiers et les rues de Second life depuis octobre 2006 à la recherche d’informations, de scoops ou pour réaliser des interviews. Comme tous les journalistes…
« Aussi étrange que cela puisse paraître, ce n’est pas si différent que d’être journaliste dans le monde réel ! », affirme Adam Pasick.

Son rôle n’est d’ailleurs pas si différent de ceux d’El Païs , du Monde ou du New York Times . Informer les habitants des nouvelles du jour. Sauf que, pour lui, les informations traitées viennent aussi bien du monde réel que de l’univers virtuel dans lequel il évolue. Un « terrain d’investigation fertile » puisqu’en constante évolution aux dires du e-reporter. Plus d’un million d’internautes y mènent déjà une seconde vie et chaque mois la population de Second life grossit de 20 %.

Florence Vergne, Journalisme(s).net |

ll s’appelle Adam Pasick, mais tout le monde le connaît sous l’avatar d’Adam Reuters. Il a 30 ans et habite Londres. Depuis deux ans, le journaliste dirige le bureau de l’agence de presse britannique Reuters dans Second life. Il est le premier journaliste « réel » à recevoir un salaire pour un travail dans un monde virtuel.

Adam Pasick, journaliste à l’agence de presse Reuters , arpente les quartiers et les rues de Second life depuis octobre 2006 à la recherche d’informations, de scoops ou pour réaliser des interviews. Comme tous les journalistes…
« Aussi étrange que cela puisse paraître, ce n’est pas si différent que d’être journaliste dans le monde réel ! », affirme Adam Pasick.

Son rôle n’est d’ailleurs pas si différent de ceux d’El Païs , du Monde ou du New York Times . Informer les habitants des nouvelles du jour. Sauf que, pour lui, les informations traitées viennent aussi bien du monde réel que de l’univers virtuel dans lequel il évolue. Un « terrain d’investigation fertile » puisqu’en constante évolution aux dires du e-reporter. Plus d’un million d’internautes y mènent déjà une seconde vie et chaque mois la population de Second life grossit de 20 %.

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