Le CRTC impose de nouvelles limites à la propriété privée des médias
Presse Canadienne |
OTTAWA – Il ne sera pas possible, au Canada, d’être propriétaire à la fois d’un journal, d’une station de radio et d’une station de télévision dans un marché donné.
À défaut de pouvoir contrôler la consolidation des médias, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) impose de nouvelles règles dans l’espoir de préserver la diversité des voix.
Ainsi, en vertu de la nouvelle politique rendue publique mardi, une entreprise privée pourra détenir deux types de médias dans un marché mais pas trois.
De plus, il ne sera pas permis de posséder plus d’une station de télévision conventionnelle de même langue dans un même marché.
“Si je comprends bien, ils font une politique d’ensemble sur la concentration”, a déclaré Florian Sauvageau, professeur de journalisme à l’Université Laval et directeur du Centre d’étude des médias.
“Le problème, c’est que le gros de la concentration au Canada, il est fait. Maintenant il y a des règles, mais il est un peu tard. Il aurait fallu qu’il y en ait il y a 10 ans, 15 ans”, a-t-il ajouté.
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OTTAWA – Il ne sera pas possible, au Canada, d’être propriétaire à la fois d’un journal, d’une station de radio et d’une station de télévision dans un marché donné.
À défaut de pouvoir contrôler la consolidation des médias, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) impose de nouvelles règles dans l’espoir de préserver la diversité des voix.
Ainsi, en vertu de la nouvelle politique rendue publique mardi, une entreprise privée pourra détenir deux types de médias dans un marché mais pas trois.
De plus, il ne sera pas permis de posséder plus d’une station de télévision conventionnelle de même langue dans un même marché.
“Si je comprends bien, ils font une politique d’ensemble sur la concentration”, a déclaré Florian Sauvageau, professeur de journalisme à l’Université Laval et directeur du Centre d’étude des médias.
“Le problème, c’est que le gros de la concentration au Canada, il est fait. Maintenant il y a des règles, mais il est un peu tard. Il aurait fallu qu’il y en ait il y a 10 ans, 15 ans”, a-t-il ajouté.
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