Promouvoir l’environnement au Bénin
Guillaume Poulin-Goyer, Le RefletDELSON – Dans le village de So-Tchanhoué, situé au Sud du Bénin, les gens ne se recueillent pas pour pleurer lors de funérailles. Ils sortent génératrices et caisses de son et dansent toute la nuit. Ce fait n’est qu’une partie des découvertes que Mélissa Guillemette a faites en passant dix semaines dans…
Guillaume Poulin-Goyer, Le Reflet
DELSON – Dans le village de So-Tchanhoué, situé au Sud du Bénin, les gens ne se recueillent pas pour pleurer lors de funérailles. Ils sortent génératrices et caisses de son et dansent toute la nuit. Ce fait n’est qu’une partie des découvertes que Mélissa Guillemette a faites en passant dix semaines dans la cité lacustre près de la capitale économique du pays africain, Cotonou. “Chaque jour était un spectacle au cours duquel il y avait 1 001 choses pour me surprendre”, lance la Sainte-Catherinoise dont le séjour était organisé par le Club 2/3, en lien avec Québec sans frontières. L’étudiante en journalisme à l’UQÀM, qui devait y faire un stage au journal communautaire Tosô-Infos, a finalement effectué du travail de coopération internationale en environnement. Sa mission était de sensibiliser la population des environs du lac Nokoué à l’importance de la récupération, de la réutilisation et du compostage de déchets organiques.
DELSON – Dans le village de So-Tchanhoué, situé au Sud du Bénin, les gens ne se recueillent pas pour pleurer lors de funérailles. Ils sortent génératrices et caisses de son et dansent toute la nuit. Ce fait n’est qu’une partie des découvertes que Mélissa Guillemette a faites en passant dix semaines dans la cité lacustre près de la capitale économique du pays africain, Cotonou. “Chaque jour était un spectacle au cours duquel il y avait 1 001 choses pour me surprendre”, lance la Sainte-Catherinoise dont le séjour était organisé par le Club 2/3, en lien avec Québec sans frontières. L’étudiante en journalisme à l’UQÀM, qui devait y faire un stage au journal communautaire Tosô-Infos, a finalement effectué du travail de coopération internationale en environnement. Sa mission était de sensibiliser la population des environs du lac Nokoué à l’importance de la récupération, de la réutilisation et du compostage de déchets organiques.
Guillaume Poulin-Goyer, Le Reflet
DELSON – Dans le village de So-Tchanhoué, situé au Sud du Bénin, les gens ne se recueillent pas pour pleurer lors de funérailles. Ils sortent génératrices et caisses de son et dansent toute la nuit. Ce fait n’est qu’une partie des découvertes que Mélissa Guillemette a faites en passant dix semaines dans la cité lacustre près de la capitale économique du pays africain, Cotonou.
“Chaque jour était un spectacle au cours duquel il y avait 1 001 choses pour me surprendre”, lance la Sainte-Catherinoise dont le séjour était organisé par le Club 2/3, en lien avec Québec sans frontières.
L’étudiante en journalisme à l’UQÀM, qui devait y faire un stage au journal communautaire Tosô-Infos, a finalement effectué du travail de coopération internationale en environnement. Sa mission était de sensibiliser la population des environs du lac Nokoué à l’importance de la récupération, de la réutilisation et du compostage de déchets organiques.
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DELSON – Dans le village de So-Tchanhoué, situé au Sud du Bénin, les gens ne se recueillent pas pour pleurer lors de funérailles. Ils sortent génératrices et caisses de son et dansent toute la nuit. Ce fait n’est qu’une partie des découvertes que Mélissa Guillemette a faites en passant dix semaines dans la cité lacustre près de la capitale économique du pays africain, Cotonou.