La presse américaine trouve le gratuit payant
De plus en plus de grands journaux américains optent pour la gratuité de leur site Internet. Le
New York
Times,
dont l’édition papier tire à 1,2 million d’exemplaires par jour,
a annoncé hier qu’il cesserait dorénavant de faire payer ses lecteurs
en ligne pour une partie de son contenu. La raison invoquée est la
rentabilité sur le moyen terme.
Sans frais. Il y a deux ans, le quotidien avait
commencé à lancer ses abonnements en ligne sous l’appellation
«TimesSelect». Pour 50 dollars par an (36 euros), les internautes
avaient accès aux archives du journal depuis 1851 ainsi qu’aux
éditoriaux de plumes réputées de columnists tel Frank Rich. Les abonnés de l’édition papier,
ainsi que certains étudiants, bénéficiaient d’un accès sans frais à
«TimesSelect». Le Times était parvenu en deux ans à convaincre 227
000 personnes de s’abonner en ligne, générant ainsi un revenu assez
considérable de 10 millions de dollars par an (7,2 millions d’euros). «Mais,
explique le directeur de nytimes.com, le fait est que nos
projections de croissance et de rentabilité sur ce modèle payant sont
moindres que pour le modèle axé sur la publicité.»
De plus en plus de grands journaux américains optent pour la gratuité de leur site Internet. Le
New York
Times,
dont l’édition papier tire à 1,2 million d’exemplaires par jour,
a annoncé hier qu’il cesserait dorénavant de faire payer ses lecteurs
en ligne pour une partie de son contenu. La raison invoquée est la
rentabilité sur le moyen terme.
Sans frais. Il y a deux ans, le quotidien avait
commencé à lancer ses abonnements en ligne sous l’appellation
«TimesSelect». Pour 50 dollars par an (36 euros), les internautes
avaient accès aux archives du journal depuis 1851 ainsi qu’aux
éditoriaux de plumes réputées de columnists tel Frank Rich. Les abonnés de l’édition papier,
ainsi que certains étudiants, bénéficiaient d’un accès sans frais à
«TimesSelect». Le Times était parvenu en deux ans à convaincre 227
000 personnes de s’abonner en ligne, générant ainsi un revenu assez
considérable de 10 millions de dollars par an (7,2 millions d’euros). «Mais,
explique le directeur de nytimes.com, le fait est que nos
projections de croissance et de rentabilité sur ce modèle payant sont
moindres que pour le modèle axé sur la publicité.»