Guerre de titans au Journal de Québec | Dossier spécial: un conflit de travail qui perdure
Le conflit de travail qui perdure depuis plus de six mois au Journal de
Québec est en réalité une guerre de titans opposant la société Québecor
et son bras éditeur Sun Média au tout puissant Syndicat canadien de la
fonction publique (SCFP) et la Fédération des travailleurs du Québec
(FTQ). Le journal de l’avenue Béchard n’est que le fer de lance de ces
deux protagonistes.
Dans le coin droit, Québecor, le plus important éditeur de journaux au
Canada. Les 20 quotidiens du groupe Osprey Medias viennent de joindre
le groupe déjà fort de huit quotidiens de grands marchés, dont Québec,
sept quotidiens gratuits et neuf autres destinés à de plus petits
marchés en Ontario et dans l’Ouest. Dans le coin gauche, le SCFP et ses
100 000 membres, la plus importante faction syndicale nationale,
appuyés par la FTQ et ses 500 000 membres. Le véritable enjeu de cette
confrontation ne réside pas vraiment dans les conditions de travail. À
ce sujet, le porte-parole syndical, Denis Bolduc, a toujours été ferme:
«nous en sommes à quelques millimètres près d’une entente».
Le conflit de travail qui perdure depuis plus de six mois au Journal de
Québec est en réalité une guerre de titans opposant la société Québecor
et son bras éditeur Sun Média au tout puissant Syndicat canadien de la
fonction publique (SCFP) et la Fédération des travailleurs du Québec
(FTQ). Le journal de l’avenue Béchard n’est que le fer de lance de ces
deux protagonistes.
Dans le coin droit, Québecor, le plus important éditeur de journaux au
Canada. Les 20 quotidiens du groupe Osprey Medias viennent de joindre
le groupe déjà fort de huit quotidiens de grands marchés, dont Québec,
sept quotidiens gratuits et neuf autres destinés à de plus petits
marchés en Ontario et dans l’Ouest. Dans le coin gauche, le SCFP et ses
100 000 membres, la plus importante faction syndicale nationale,
appuyés par la FTQ et ses 500 000 membres. Le véritable enjeu de cette
confrontation ne réside pas vraiment dans les conditions de travail. À
ce sujet, le porte-parole syndical, Denis Bolduc, a toujours été ferme:
«nous en sommes à quelques millimètres près d’une entente».