Assises Internationales du Journalisme
À quoi sert un journaliste en Chine ? À quoi sert un journaliste sous le règne de l’immédiat numérique ? À quoi sert un journaliste sportif devant un stade où il n’a pas le droit d’entrer ? À quoi sert un localier qui n’a plus d’autres confrères sur sa contrée ? À quoi sert un journaliste qui a perdu la confiance du public ? À quoi sert un journaliste au chômage ? À quoi sert un journaliste qui ne s’interroge plus sur son métier ?
La liste est longue des questions qui se posent à notre métier. Pas facile d’y répondre. Pas facile d’avancer quand personne ne peut être sûr de ce que sera le journalisme dans 10 ans ! Mais au moins pouvons nous commencer par en parler. Prendre le temps de débattre. Débattre entre nous, et avec les citoyens, de ce qui fait le journalisme aujourd’hui. De nos pratiques. De nos doutes. De nos craintes. De nos espoirs aussi.
C’est la première fonction des Assises Internationales du Journalisme. Créer le lieu et le moment de l’échange. Prendre le temps, une fois l’an, de nous rencontrer indépendamment de nos agendas, de nos tribus, de nos médias.
À quoi sert un journaliste en Chine ? À quoi sert un journaliste sous le règne de l’immédiat numérique ? À quoi sert un journaliste sportif devant un stade où il n’a pas le droit d’entrer ? À quoi sert un localier qui n’a plus d’autres confrères sur sa contrée ? À quoi sert un journaliste qui a perdu la confiance du public ? À quoi sert un journaliste au chômage ? À quoi sert un journaliste qui ne s’interroge plus sur son métier ?
La liste est longue des questions qui se posent à notre métier. Pas facile d’y répondre. Pas facile d’avancer quand personne ne peut être sûr de ce que sera le journalisme dans 10 ans ! Mais au moins pouvons nous commencer par en parler. Prendre le temps de débattre. Débattre entre nous, et avec les citoyens, de ce qui fait le journalisme aujourd’hui. De nos pratiques. De nos doutes. De nos craintes. De nos espoirs aussi.
C’est la première fonction des Assises Internationales du Journalisme. Créer le lieu et le moment de l’échange. Prendre le temps, une fois l’an, de nous rencontrer indépendamment de nos agendas, de nos tribus, de nos médias.
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