Devenir journaliste d’un jour au Téléjournal de Radio-Canada
Ils sont quatre aînés, et en septembre prochain, chacun d’entre eux viendra nous présenter son reportage sur un sujet les préoccupant. Une expérience intéressante combinant journalisme civique et traditionnel.
Depuis quelque temps, j’ai un malin plaisir à lire le carnet web des quatre participants au projet «Journaliste d’un jour» que propose la télévision d’État dans le cadre du Téléjournal de fin de soirée : quatre personnes, quatre aînés ont été sélectionnés afin de réaliser pour septembre prochain un reportage qui sera télédiffusé au TJ.
Le choix du sujet est laissé à la discrétion du participant. Mais ce que j’aime, c’est l’assistance que l’équipe du Téléjournal donne à ces néophytes de l’univers télévisuel. Et croyez-moi, à lire le blogue que tiennent ces quatre aînés, bien que compréhensifs et disponibles, l’équipe du TJ n’a aucunement l’intention «d’abaisser» les normes de la maison. On les sens exigeant envers les aînés, mais nul ne s’en plaint, bien au contraire.
Ils sont quatre aînés, et en septembre prochain, chacun d’entre eux viendra nous présenter son reportage sur un sujet les préoccupant. Une expérience intéressante combinant journalisme civique et traditionnel.
Depuis quelque temps, j’ai un malin plaisir à lire le carnet web des quatre participants au projet «Journaliste d’un jour» que propose la télévision d’État dans le cadre du Téléjournal de fin de soirée : quatre personnes, quatre aînés ont été sélectionnés afin de réaliser pour septembre prochain un reportage qui sera télédiffusé au TJ.
Le choix du sujet est laissé à la discrétion du participant. Mais ce que j’aime, c’est l’assistance que l’équipe du Téléjournal donne à ces néophytes de l’univers télévisuel. Et croyez-moi, à lire le blogue que tiennent ces quatre aînés, bien que compréhensifs et disponibles, l’équipe du TJ n’a aucunement l’intention «d’abaisser» les normes de la maison. On les sens exigeant envers les aînés, mais nul ne s’en plaint, bien au contraire.