Journal de Montréal: les syndiqués voteront samedi
Les membres du Syndicat des
travailleurs de l’information du Journal de Montréal (STIJM-CSN)
sont convoqués en assemblée générale samedi matin. Ils devront se
prononcer sur une recommandation du médiateur, Jean Poirier, pour régler le conflit de travail qui les oppose à leur employeur,
Quebecor, depuis plus de deux ans.
Les membres du Syndicat des
travailleurs de l’information du Journal de Montréal (STIJM-CSN)
sont convoqués en assemblée générale samedi matin. Ils devront se
prononcer sur une recommandation du médiateur, Jean Poirier, pour régler le
conflit le conflit de travail qui les oppose à leur employeur,
Quebecor, depuis plus de deux ans.
La proposition serait similaire à
celle que les travailleurs en lock-out ont massivement rejeté en
octobre, d’après un tweet de la journaliste Pascale Lévesque. Pour elle, il s’agit ni plus ni moins d’un ultimatum de l’employeur:
En octobre, 89,3% des syndiqués se
sont opposés à la proposition de règlement de Quebecor.
L’entreprise proposait de réduire le nombre de travailleurs de 253 à
52 tout en exigeant que les licenciés ne le concurrencent pas en
allant travailler pour La Presse ou Cyberpresse ou en fondant
des quotidiens francophones dans la région montréalaise.
Dans un communiqué émis en soirée,
la CSN explique qu’aucun commentaire ne sera émis avant la fin de
l’assemblée générale du syndicat qui sera suivie d’un point de
presse. La réunion doit avoir lieu samedi à 10h au Palais des
congrès
February 25, 2011
y’a t-il encore quelqu’un qui
y’a t-il encore quelqu’un qui croit que M. P. veut vraiment négocier? Ou au moins faire semblant? La seule question à voter, c’est de savoir si les lock-outé sont capable d’aller jusqu’au bout de ce qui pourrait être un journal né d’un conflit, le vendre, faire de l’Argent avec et montrer à M. P que “small is beautifull”.
Pour ma part lock-outer son monde c’est faire la preuve dès le départ que l’on n’est pas un bon gestionnaire: virer ses opposants, c’est ce que font les dictateurs obsolétes et rétrogrades, qui ne jurent que par l’autorité. Cela n’a jamais été un signe d’intelligence ni de sens du compromis.
Il y’a les révolutions facebook, y’aurat-il des révolutions lock-out, avec création à la clef d’une véritable concurrence pour le déclencheur? Ce serait logique après tout: rien ne se perd tout se transforme…
En passant, dite bonjour a ceux qui croient que M. P est un modéle d’entrepreneurship (Éric Paquette DG du regroupement des jeunes chambres de commerce du QC): le modèle est obsolète, tout exempaire qu’il est il n’a pas non plus trouvé le nouveau modèle d’affaire de presse dont tout le monde parle. Il se contente de gérer en s’appuyant sur de vielles recettes dépassées plutôt que d’innover vraiment.
La culture d’entreprise qui va progresser demain sera celle qui aujourd’hui sera orientée Clients ET employés. Plus uniquement client comme nous le faisons aujourd’hui: les employés sont nos premiers clients, c’est aussi simple que cela. C’est peut-être trop simple à comprendre pour un esprit supérieur: simple n’est pas facile.
Cours de vente 101, châpître 1, page 1: les clients achètent quand les employés sont fier du produit. Les ventes augmentent quands les employés achetent aussi le produit, donc la philosophie de la compagnie. Vous mangez vous dans un restaut ou le cuistôt ne goute pas ces plats ? Pas moi…