[Journalisme et] WEB 2.0 Peut-on parler de révolution ?
À l’occasion de la sortie du nouveau hors-série de Courrier international, Claude Leblanc, rédacteur en chef adjoint, répond aux questions des internautes.
villegagnons : Le web 2 est mort depuis un mois environ, on en est au web 3 !
Claude Leblanc : Pour les geeks, nous en sommes au web 3, voire au web
4. J’ajouterai qu’actuellement même chez ceux qui “pensent” le web de
demain, la définition de ce qu’est le web 3.0 n’est pas encore bien
claire. Pour certains, cela désigne la troisième décade du web
2010-2020. D’autres parlent du web sémantique comme étant le 3.0. On
verra. Je ne suis pas devin, mais il est vrai que depuis son avènement
le web se développe progressivement grâce aux contributions de plus en
plus importantes des internautes eux-mêmes. Je crois que le web 3.0,
c’est l’utilisation intelligente et ordonnée de ces contributions que
l’on voit s’étendre avec le web 2.0.
À l’occasion de la sortie du nouveau hors-série de Courrier international, Claude Leblanc, rédacteur en chef adjoint, répond aux questions des internautes.
villegagnons : Le web 2 est mort depuis un mois environ, on en est au web 3 !
Claude Leblanc : Pour les geeks, nous en sommes au web 3, voire au web
4. J’ajouterai qu’actuellement même chez ceux qui “pensent” le web de
demain, la définition de ce qu’est le web 3.0 n’est pas encore bien
claire. Pour certains, cela désigne la troisième décade du web
2010-2020. D’autres parlent du web sémantique comme étant le 3.0. On
verra. Je ne suis pas devin, mais il est vrai que depuis son avènement
le web se développe progressivement grâce aux contributions de plus en
plus importantes des internautes eux-mêmes. Je crois que le web 3.0,
c’est l’utilisation intelligente et ordonnée de ces contributions que
l’on voit s’étendre avec le web 2.0.