La Radio X sous la loupe de Diane Vincent
En 2004, Diane Vincent publiait Fréquences limites : La radio de
confrontation au Québec, une étude du style des animateurs de radio
Jean-François Fillion et André Arthur. Elle poursuit son analyse des
médias avec La radio X, les médias et les citoyens. Dénigrement et
confrontation sociale, un ouvrage sur le discours qui a entouré la
manifestation pro-CHOI à l’été 2004.
Plusieurs choses ont été dites dans les médias et le public au sujet de
cette manif. C’est ce qu’ont analysé la professeure de linguistique à
l’Université Laval, Diane Vincent, et les coauteurs Olivier Turbide et
Marty Laforest. Pour écrire l’essai, divisé en six chapitres, les
chercheurs ont étudié des enregistrements de l’émission Le monde
parallèle de Jeff Fillion, des extraits du site Internet
choiradiox.net, des textes du CRTC, des articles et des lettres
ouvertes publiés dans des journaux du Québec, ainsi que des courriels
adressés à des organismes ou à des «victimes» de l’animateur.
«Ce qui nous intéressait, ce n’était pas le langage de Jean-François
Fillion comme tel mais le phénomène social qui se créait autour de lui,
de la station, de son personnage», dit Mme Vincent.
Daphné Bédard, Le Soleil |
En 2004, Diane Vincent publiait Fréquences limites : La radio de
confrontation au Québec, une étude du style des animateurs de radio
Jean-François Fillion et André Arthur. Elle poursuit son analyse des
médias avec La radio X, les médias et les citoyens. Dénigrement et
confrontation sociale, un ouvrage sur le discours qui a entouré la
manifestation pro-CHOI à l’été 2004.
Plusieurs choses ont été dites dans les médias et le public au sujet de
cette manif. C’est ce qu’ont analysé la professeure de linguistique à
l’Université Laval, Diane Vincent, et les coauteurs Olivier Turbide et
Marty Laforest. Pour écrire l’essai, divisé en six chapitres, les
chercheurs ont étudié des enregistrements de l’émission Le monde
parallèle de Jeff Fillion, des extraits du site Internet
choiradiox.net, des textes du CRTC, des articles et des lettres
ouvertes publiés dans des journaux du Québec, ainsi que des courriels
adressés à des organismes ou à des «victimes» de l’animateur.
«Ce qui nous intéressait, ce n’était pas le langage de Jean-François
Fillion comme tel mais le phénomène social qui se créait autour de lui,
de la station, de son personnage», dit Mme Vincent.