Le journalisme après internet
Narvic, Novovision.free.fr |Voyage au pays des soutiers de l’information en ligne, ces journalistes invisibles, « hybrides » et « dominés », qui travaillent dans les sites web d’information…Le chercheur voit dans ce journalisme d’un nouveau type « un laboratoire pour le journalisme du futur », qui se développe « sous l’emprise du marketing » et…
Narvic, Novovision.free.fr |
Voyage au pays des soutiers de l’information en ligne, ces journalistes invisibles, « hybrides » et « dominés », qui travaillent dans les sites web d’information…
Le chercheur voit dans ce journalisme d’un nouveau type « un laboratoire pour le journalisme du futur », qui se développe « sous l’emprise du marketing » et détourne les outils et la culture participative du Web 2.0 et du journalisme citoyen pour conforter les « médias marchands » face à des internautes réduits au rôle de client et de consommateur…
Si Yannick Estienne ne voit pas là « la fin du journalisme », il s’agit bien tout de même d’une transformation en profondeur…
« Le journalisme après internet », Yannick Estienne, L’Harmattan, 2007, 313 p., 31
Voyage au pays des soutiers de l’information en ligne, ces journalistes invisibles, « hybrides » et « dominés », qui travaillent dans les sites web d’information…
Le chercheur voit dans ce journalisme d’un nouveau type « un laboratoire pour le journalisme du futur », qui se développe « sous l’emprise du marketing » et détourne les outils et la culture participative du Web 2.0 et du journalisme citoyen pour conforter les « médias marchands » face à des internautes réduits au rôle de client et de consommateur…
Si Yannick Estienne ne voit pas là « la fin du journalisme », il s’agit bien tout de même d’une transformation en profondeur…
« Le journalisme après internet », Yannick Estienne, L’Harmattan, 2007, 313 p., 31
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Voyage au pays des soutiers de l’information en ligne, ces journalistes invisibles, « hybrides » et « dominés », qui travaillent dans les sites web d’information…
Le chercheur voit dans ce journalisme d’un nouveau type « un laboratoire pour le journalisme du futur », qui se développe « sous l’emprise du marketing » et détourne les outils et la culture participative du Web 2.0 et du journalisme citoyen pour conforter les « médias marchands » face à des internautes réduits au rôle de client et de consommateur…
Si Yannick Estienne ne voit pas là « la fin du journalisme », il s’agit bien tout de même d’une transformation en profondeur…
« Le journalisme après internet », Yannick Estienne, L’Harmattan, 2007, 313 p., 31
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Voyage au pays des soutiers de l’information en ligne, ces journalistes invisibles, « hybrides » et « dominés », qui travaillent dans les sites web d’information…
Le chercheur voit dans ce journalisme d’un nouveau type « un laboratoire pour le journalisme du futur », qui se développe « sous l’emprise du marketing » et détourne les outils et la culture participative du Web 2.0 et du journalisme citoyen pour conforter les « médias marchands » face à des internautes réduits au rôle de client et de consommateur…
Si Yannick Estienne ne voit pas là « la fin du journalisme », il s’agit bien tout de même d’une transformation en profondeur…
« Le journalisme après internet », Yannick Estienne, L’Harmattan, 2007, 313 p., 31