Les chiens aboient, la caravane passe?
Exercice de retrouvailles, de réseautage et de réflexion collective, le Congrès annuel de la FPJQ reflète les nombreux paradoxes de la pratique actuelle du journalisme au Québec.
D’une part, comme ailleurs dans le monde, on n’a pas encore trouvé la formule magique pour assurer la rentabilité et la stabilité des grandes salles de rédaction. Le lock-out au Journal de Montréal et les difficiles négociations à La Presse assombrissent le climat de travail pour les syndiqués des groupes Quebecor et Gesca. Une bonne part des pigistes vivent dans des conditions plus que précaires. Mais d’autre part, le travail journalistique en profondeur – enquêtes et reportage ethnographique notamment – semble vivre une véritable renaissance, comme en témoignent les prix décernés lors du Congrès.
On quitte un tel événement à la fois stimulé et conscient de l’avenir incertain du journalisme.
Lire à ce sujet les bilans d’Ariane Krol, dans La Presse, de Stéphane Baillargeon, dans Le Devoir, et de Bertrand Tremblay, dans Le Quotidien du Saguenay.
Exercice de retrouvailles, de réseautage et de réflexion collective, le Congrès annuel de la FPJQ reflète les nombreux paradoxes de la pratique actuelle du journalisme au Québec.
D’une part, comme ailleurs dans le monde, on n’a pas encore trouvé la formule magique pour assurer la rentabilité et la stabilité des grandes salles de rédaction. Le lock-out au Journal de Montréal et les difficiles négociations à La Presse assombrissent le climat de travail pour les syndiqués des groupes Quebecor et Gesca. Une bonne part des pigistes vivent dans des conditions plus que précaires. Mais d’autre part, le travail journalistique en profondeur – enquêtes et reportage ethnographique notamment – semble vivre une véritable renaissance, comme en témoignent les prix décernés lors du Congrès.
On quitte un tel événement à la fois stimulé et conscient de l’avenir incertain du journalisme.
Lire à ce sujet les bilans d’Ariane Krol, dans La Presse, de Stéphane Baillargeon, dans Le Devoir, et de Bertrand Tremblay, dans Le Quotidien du Saguenay.
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