Les nouvelles limites à la propriété privée des médias imposées par le CRTC sont mal reçues
Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes
(CRTC) apporte des restrictions à la concentration éventuelle des
médias au pays, mais sa nouvelle politique est mal reçue par les
journalistes et les syndicats des entreprises.
L’organisme fédéral avait tenu en septembre dernier une audience
sur la «diversité des voix», pour répondre aux inquiétudes qui
s’élevaient au sujet de la concentration des médias au Canada.
Selon la nouvelle politique publiée hier, une personne ou une
entreprise ne pourra posséder trois types de médias dans un même marché
local, soit un journal, une station de télévision et une station de
radio. Mais elle pourrait posséder deux de ces trois médias.
Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes
(CRTC) apporte des restrictions à la concentration éventuelle des
médias au pays, mais sa nouvelle politique est mal reçue par les
journalistes et les syndicats des entreprises.
L’organisme fédéral avait tenu en septembre dernier une audience
sur la «diversité des voix», pour répondre aux inquiétudes qui
s’élevaient au sujet de la concentration des médias au Canada.
Selon la nouvelle politique publiée hier, une personne ou une
entreprise ne pourra posséder trois types de médias dans un même marché
local, soit un journal, une station de télévision et une station de
radio. Mais elle pourrait posséder deux de ces trois médias.