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Steve Proulx, Voir.ca | L’autre samedi, un “boum” sonore me tire des bras de Morphée. Le camelot vient de livrer La Presse à ma porte. Avec ses 11 cahiers touffus, l’édition sabbatique est une brique. Tant qu’à être réveillé, aussi bien se lever. Depuis quelque temps, la une du samedi du plus grand quotidien français…

Steve Proulx, Voir.ca |

L’autre samedi, un “boum” sonore me tire des bras de Morphée. Le camelot vient de livrer La Presse à ma porte. Avec ses 11 cahiers touffus, l’édition sabbatique est une brique.

Tant qu’à être réveillé, aussi bien se lever. Depuis quelque temps, la une du samedi du plus grand quotidien français d’Amérique n’est faite que de photos en couleurs et de titres en grosses lettres. “AÉROPORTS: ATTACHEZ VOTRE CEINTURE!”, “ISABELLE BLAIS: LA BELLE VIE D’UNE DISCRÈTE OMNIPRÉSENTE”, “MOURIR SEUL À MONTRÉAL”.

Ce matin-là, le plus gros titre, “LE CONTINENT INVISIBLE”, est réservé à un dossier sur les grottes du Mexique. Huit pages de textes et de photos grand format imprimés sur papier glacé dans le nouveau cahier Éléments.

Steve Proulx, Voir.ca |

L’autre samedi, un “boum” sonore me tire des bras de Morphée. Le camelot vient de livrer La Presse à ma porte. Avec ses 11 cahiers touffus, l’édition sabbatique est une brique.

Tant qu’à être réveillé, aussi bien se lever. Depuis quelque temps, la une du samedi du plus grand quotidien français d’Amérique n’est faite que de photos en couleurs et de titres en grosses lettres. “AÉROPORTS: ATTACHEZ VOTRE CEINTURE!”, “ISABELLE BLAIS: LA BELLE VIE D’UNE DISCRÈTE OMNIPRÉSENTE”, “MOURIR SEUL À MONTRÉAL”.

Ce matin-là, le plus gros titre, “LE CONTINENT INVISIBLE”, est réservé à un dossier sur les grottes du Mexique. Huit pages de textes et de photos grand format imprimés sur papier glacé dans le nouveau cahier Éléments.

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