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Pour un journalisme loyal, par Véronique Maurus

Le médiateur de presse est une création relativement récente. L’idée a germé aux Etats-Unis dès la fin des années 1960, mais la fonction n’est véritablement née qu’en 1970 (au Washington Post) et s’est répandue très lentement. Aujourd’hui, ils ne sont qu’une centaine dans le monde, sous des appellations diverses, ombudsman (d‘ombud, “délégué” en suédois), public…

Le médiateur de presse est une création relativement récente. L’idée a
germé aux Etats-Unis dès la fin des années 1960, mais la fonction n’est
véritablement née qu’en 1970 (au Washington Post) et s’est répandue très lentement. Aujourd’hui, ils ne sont qu’une centaine dans le monde, sous des appellations diverses, ombudsman (d‘ombud, “délégué” en suédois), public editor (“rédacteur public”), defensor (“défenseur”) ou avvocato (“avocat”) des lecteurs.

En France, où Le Monde a ouvert la voie en 1994,
on ne compte qu’une quinzaine de médiateurs, tous médias confondus –
dont un fort contingent dans l’audiovisuel public. Dernier venu en
date, Le Parisien s’est lancé il y a deux semaines.

Le médiateur de presse est une création relativement récente. L’idée a
germé aux Etats-Unis dès la fin des années 1960, mais la fonction n’est
véritablement née qu’en 1970 (au Washington Post) et s’est répandue très lentement. Aujourd’hui, ils ne sont qu’une centaine dans le monde, sous des appellations diverses, ombudsman (d‘ombud, “délégué” en suédois), public editor (“rédacteur public”), defensor (“défenseur”) ou avvocato (“avocat”) des lecteurs.

En France, où Le Monde a ouvert la voie en 1994,
on ne compte qu’une quinzaine de médiateurs, tous médias confondus –
dont un fort contingent dans l’audiovisuel public. Dernier venu en
date, Le Parisien s’est lancé il y a deux semaines.

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