Splendeurs et misères du journalisme en Chine
Sophie Cousineau, La Presse
Cela relève de l’évidence, mais vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis chanceuse d’exercer mon métier au Canada.
Depuis deux jours, j’en vois des vertes et des pas mûres au Asian Aerospace, un salon aéronautique qui se tient à Hong-Kong. J’ai déjà travaillé comme journaliste en Chine lors de missions gouvernementales, mais je n’avais jamais assisté à des conférences de presse d’entreprises chinoises du continent.
Certaines entreprises offrent des cadeaux coûteux aux journalistes. Par exemple, Shenzen Airlines offrait des modèles réduits de ses avions à tous, alors que Bombardier – qui est loin d’être chiche – a fait tirer les deux avions réduits qu’elle avait apportés parmi les journalistes présents.
Sophie Cousineau, La Presse
Cela relève de l’évidence, mais vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis chanceuse d’exercer mon métier au Canada.
Depuis deux jours, j’en vois des vertes et des pas mûres au Asian Aerospace, un salon aéronautique qui se tient à Hong-Kong. J’ai déjà travaillé comme journaliste en Chine lors de missions gouvernementales, mais je n’avais jamais assisté à des conférences de presse d’entreprises chinoises du continent.
Certaines entreprises offrent des cadeaux coûteux aux journalistes. Par exemple, Shenzen Airlines offrait des modèles réduits de ses avions à tous, alors que Bombardier – qui est loin d’être chiche – a fait tirer les deux avions réduits qu’elle avait apportés parmi les journalistes présents.
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