Tout le monde en parle : une langue de bas étage!
Claude Lalande, Québec, Le Soleil |
«Tout le monde en parle» a été jusqu’à récemment une de mes émissions de télévision préférées. Malheureusement, pour plusieurs raisons, elle pourrait bien être reléguée assez rapidement à un rang subalterne de mes priorités télévisuelles. Parmi les principales raisons, il faut noter la qualité douteuse de plusieurs invités, trop souvent enclins aux pitreries de bas étages, davantage motivés par la promotion de leur popularité et n’ayant rien de valable à offrir à notre culture populaire québécoise.
«Tout le monde en parle» a été jusqu’à récemment une de mes émissions de télévision préférées. Malheureusement, pour plusieurs raisons, elle pourrait bien être reléguée assez rapidement à un rang subalterne de mes priorités télévisuelles. Parmi les principales raisons, il faut noter la qualité douteuse de plusieurs invités, trop souvent enclins aux pitreries de bas étages, davantage motivés par la promotion de leur popularité et n’ayant rien de valable à offrir à notre culture populaire québécoise.
Claude Lalande, Québec, Le Soleil |
«Tout le monde en parle» a été jusqu’à récemment une de mes émissions de télévision préférées. Malheureusement, pour plusieurs raisons, elle pourrait bien être reléguée assez rapidement à un rang subalterne de mes priorités télévisuelles. Parmi les principales raisons, il faut noter la qualité douteuse de plusieurs invités, trop souvent enclins aux pitreries de bas étages, davantage motivés par la promotion de leur popularité et n’ayant rien de valable à offrir à notre culture populaire québécoise.
«Tout le monde en parle» a été jusqu’à récemment une de mes émissions de télévision préférées. Malheureusement, pour plusieurs raisons, elle pourrait bien être reléguée assez rapidement à un rang subalterne de mes priorités télévisuelles. Parmi les principales raisons, il faut noter la qualité douteuse de plusieurs invités, trop souvent enclins aux pitreries de bas étages, davantage motivés par la promotion de leur popularité et n’ayant rien de valable à offrir à notre culture populaire québécoise.
[node:ad]