Troquer la comptabilité pour le journalisme
Isabelle Pion, La Tribune (Sherbrooke, Qc) |
Lorsqu’elle a décidé de laisser tomber son emploi pour pouvoir écrire, Mélanie Noël était comptable agréée et directrice services conseils chez Samson Bélair/Deloitte & Touche, une maîtrise en comptabilité financière en poche, et s’apprêtait à obtenir son titre d’experte en évaluation d’entreprise, après trois ans de cours par correspondance.
Elle a cru, pendant un moment, qu’elle pourrait laisser libre cours à sa passion… une fois à la retraite.
“Sauf qu’avec le temps, j’ai réalisé qu’il y avait probablement moyen de joindre mes passions à mon quotidien, au lieu de les garder pour le soir et la fin de semaine. J’avais l’impression de vivre selon des standards qui n’étaient pas les miens et de vivre une vie qui n’était pas la mienne. Je me disais qu’il me restait environ 40 ans à travailler et que je ne pouvais pas attendre tout ce temps avant de faire quelque chose que j’aimais vraiment.
Au début de ma carrière, l’ambition me nourrissait suffisamment pour me motiver. Mais avec les années, je me suis aperçue que je n’aimais pas assez la nature de mon travail pour continuer”, raconte la journaliste de La Tribune, qui a néanmoins obtenu le titre d’experte en évaluation d’entreprise après avoir quitté son emploi en comptabilité.Contrairement aux réactions qu’elle anticipait dans son entourage, le grand tournant a été bien accueilli.
Isabelle Pion, La Tribune (Sherbrooke, Qc) |
Lorsqu’elle a décidé de laisser tomber son emploi pour pouvoir écrire, Mélanie Noël était comptable agréée et directrice services conseils chez Samson Bélair/Deloitte & Touche, une maîtrise en comptabilité financière en poche, et s’apprêtait à obtenir son titre d’experte en évaluation d’entreprise, après trois ans de cours par correspondance.
Elle a cru, pendant un moment, qu’elle pourrait laisser libre cours à sa passion… une fois à la retraite.
“Sauf qu’avec le temps, j’ai réalisé qu’il y avait probablement moyen de joindre mes passions à mon quotidien, au lieu de les garder pour le soir et la fin de semaine. J’avais l’impression de vivre selon des standards qui n’étaient pas les miens et de vivre une vie qui n’était pas la mienne. Je me disais qu’il me restait environ 40 ans à travailler et que je ne pouvais pas attendre tout ce temps avant de faire quelque chose que j’aimais vraiment.
Au début de ma carrière, l’ambition me nourrissait suffisamment pour me motiver. Mais avec les années, je me suis aperçue que je n’aimais pas assez la nature de mon travail pour continuer”, raconte la journaliste de La Tribune, qui a néanmoins obtenu le titre d’experte en évaluation d’entreprise après avoir quitté son emploi en comptabilité.Contrairement aux réactions qu’elle anticipait dans son entourage, le grand tournant a été bien accueilli.
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