Un journaliste de La Nouvelle prim
Simon-Oliver Lorange, La Tribune |
L’équipe de rédaction du journal sherbrookois La Nouvelle devra se passer d’un de ses importants rouages au cours de l’automne.
À
moins que ce ne soit l’hiver prochain? Quoi qu’il en soit, au cours de
la prochaine année, Jonathan Custeau, journaliste auprès de cet
hebdomadaire ainsi que du quotidien La Tribune, s’envolera pour
la France afin d’y vivre un stage de deux semaines dans un hebdomadaire
local, lui qui a remporté samedi à Montréal la Bourse jeune reporter
2008 dans le cadre des Grands prix des hebdos.
Cette distinction
récompense depuis l’année dernière un reporter âgé de moins de 30 ans
et possédant au moins deux ans d’expérience en journalisme. Jonathan a
décroché cet honneur à sa première tentative, lui qui aurait pourtant
été admissible en 2007.
“L’année passée, j’avais lancé à la
blague que c’est moi qui gagnerais cette année, se rappelle le
Sherbrookois de 24 ans. Sans rire, je n’avais pas d’attente en
particulier, puisque de toute façon, je me disais qu’il me restait cinq
ans pour me reprendre!”
Simon-Oliver Lorange, La Tribune |
L’équipe de rédaction du journal sherbrookois La Nouvelle devra se passer d’un de ses importants rouages au cours de l’automne.
À
moins que ce ne soit l’hiver prochain? Quoi qu’il en soit, au cours de
la prochaine année, Jonathan Custeau, journaliste auprès de cet
hebdomadaire ainsi que du quotidien La Tribune, s’envolera pour
la France afin d’y vivre un stage de deux semaines dans un hebdomadaire
local, lui qui a remporté samedi à Montréal la Bourse jeune reporter
2008 dans le cadre des Grands prix des hebdos.
Cette distinction
récompense depuis l’année dernière un reporter âgé de moins de 30 ans
et possédant au moins deux ans d’expérience en journalisme. Jonathan a
décroché cet honneur à sa première tentative, lui qui aurait pourtant
été admissible en 2007.
“L’année passée, j’avais lancé à la
blague que c’est moi qui gagnerais cette année, se rappelle le
Sherbrookois de 24 ans. Sans rire, je n’avais pas d’attente en
particulier, puisque de toute façon, je me disais qu’il me restait cinq
ans pour me reprendre!”